lundi 29 octobre 2012

Portes ouvertes Maison Passive du 9 au 11 novembre 2012


Dans toute la France et en Belgique (voir Wallonie), des propriétaires de maisons ou bâtiments passifs vous proposent de leur rendre visite et de découvrir le confort et les performances de leur maison ou bâtiment passifs.
Le point commun à toutes ces constructions : un confort associé à une économie d’énergie impressionnante que seules les constructions passives peuvent atteindre.

Bien évidemment notre maison fraîchement labellisée participe à cette manifestation.
Pour visiter le projet du 9 au 11 novembre vous pouvez prendre rendez vous au 
05 59 51 05 06 ou par mail contact@carbone64.fr
Portes ouvertes maison passive Arcangues

mercredi 10 octobre 2012

Inauguration Maison Passive Pays Basque


Nous avons abouti, à Biarritz, la 1ère Maison Passive en Aquitaine.
L’inauguration a eu lieu le 21 septembre 2012 à Biarritz.
L’inauguration de la 1ère Maison Passive a été couronnée de succès.
Le public présent a pu découvrir les secrets de construction d’une maison passive, ses atouts de confort et
de construction au travers de l’exposition thématique et de la visite guidée proposée à cette occasion.
Plus de 150 personnes ont répondu présent à l’invitation lancée par les
Sociétés IdeA et Carbone 64 à l’initiative de ce projet.
Ce fut l’occasion pour de nombreux professionnels du bâtiment (architectes, maitres d’oeuvres,
agents immobiliers, entreprises du bâtiment…) de se retrouver et de discuter ensemble l’avenir de la
profession. Sans aucun doute, le concept de Maison Passive a de beaux jours devant lui !
La curiosité fut telle, que de nouvelles visites sont d’ores et déjà programmées, notamment à l’occasion
Le rendez-vous est pris !
Inscrivez vous par mail : contact @carbone64.fr ou téléphone +33 559 51 05 06


mercredi 19 septembre 2012

Photos Maison Passive Pays Basque

Et voici quelques photos de notre maison passive. Merci Tala pour ces photos.

Une vue des façades SUD et OUEST
Une vue des façades SUD et EST

Lavage de mains depuis dans la cuisine !

mardi 11 septembre 2012

Fin des travaux

La fin des travaux rime avec déménagement ! Merci à tous ceux qui nous ont aidé dans ce projet.



Le déménagement se fait dans la bonne humeur 




La pause des déménageurs






Le soir un apéritif "cartons"
Christophe nous remet le terrain en forme avec l'aide de Louis

lundi 6 août 2012

Mise en service du système Compact

La mise en service du système compact a été réalisée par le fabricant DREXEL & WEISS.
Elle consiste à faire les derniers raccordements de la machine, vérifier les branchements qui ont été faits.
Ensuite on procède à la mise en route du système, on effectue une batterie de mesures pour s'assurer du bon fonctionnement de l'appareil.
Une des étapes les plus importantes consiste au réglage des débits des bouches de ventilations. 
En effet pour assurer un bon renouvellement d'air il est indispensable de réaliser une bonne conception. Et pour que tout cela fonctionne il faut régler et vérifier les débits de chaque bouche.
Ceci est réalisé à partir d'un anémomètre à fil chaud qui permet de mesurer la vitesse de l'air dans une section connue. Chaque bouche est alors réglée afin d'obtenir le débit prévu.
Branchement du système compact, mesures
et vérifications lors de la mise en service .
Mise en place du caisson "été" sans échangeur.
A la fin de l'automne il faudra remettre le caisson
avec échangeur.

Mesure du débit au niveau d'une bouche de ventilation.
La mesure de la vitesse d'air dans le tube permet de calculer le débit de le
bouche de ventilation.
Réglage du débit
d'une bouche de ventilation



vendredi 20 juillet 2012

Le système compact, une solution tout en un pour du chauffage par l'air !


Notre système compact étant posé et mis en service depuis quelques jours, nous allons vous parler de ce produit innovant et spécialement conçu pour les maisons passives.

Nous avons choisi de ne pas avoir d’installation proprement dite de chauffage, c’est-à-dire ni radiateurs, ni plancher chauffant… donc de chauffer via le système de ventilation. Pour avoir la possibilité de chauffer de cette façon, l’exigence du référentiel passif se base sur une puissance utile à atteindre qui doit être inférieure à 10 W/m².

Pourquoi faut-il atteindre une puissance de 10 W/m² ?
Cette puissance a été déterminée, pour une température d'ambiance de 20°C, en prenant en compte 2 phénomènes physiques suivants :
La température de l’air qui sera soufflée dans les pièces ne doit pas dépasser 55°C, sinon des poussières sont brulées et risquent de créer des odeurs. 
Les débits de ventilation pour le chauffage par l’air seront les débits hygiéniques. Les augmenter pourrait entrainer un assèchement de l’air, très inconfortable.  

Comment fonctionne ce système compact ?
La maison sera chauffée à l'aide d'un système intégré tout en un (Ventilation + Chauffage + Eau Chaude Sanitaire) qui réchauffe l'air insufflé en puisant ses calories sur l'air rejeté, et produisant également l'eau chaude sanitaire. Un système unique procure de nombreux avantages comme une simplification pour la maintenance, une optimisation de la régulation et un gain de place important.

Il existe différentes marques distribuées en France. Drexel und Weiss étant une référence, nous avons fait installer leur Aerosmart L.
Pour des raisons de confort, on placera dans 2 salles de bain un sèche serviette (500W) pour atteindre temporairement une température plus élevée.

Voici quelques informations sur l'appareil Aerosmart L : 

·         puissance : env. 1,7 kW
·         quantité d'air maximale est de 235 m³/h.
·         capacité du ballon : 200 L
·         taille : 60 X 60 X 230 cm 

L'appareil compact se compose dans un même appareil d'un module de ventilation avec récupération de chaleur (ventilation double flux : voir article précèdent), d'une pompe à chaleur pour le chauffage ambiant et le réchauffement de l'eau chaude sanitaire ainsi que d'un réservoir d'eau chaude sanitaire.Le chauffage de l'eau chaude sanitaire est prioritaire, jusqu'à ce qu'une certaine température soit atteinte dans le réservoir. Ceci garantit une mise à disposition d'eau chaude suffisante et accroît l'efficacité de la pompe à chaleur. Une résistance électrique est à disposition pour le réservoir d'eau chaude sanitaire. 

mardi 3 juillet 2012

Le second oeuvre suit sont court



Ossatures faux plafonds
Ossature des cloisons
Travaux de plâtrerie terminés



Pose  parquet en pin des landes sur lambourdes
Pose parquet en pin des landes sur lambourdes

lundi 25 juin 2012

Visites maison passive Arcangues



 Dans le cadre du 19ème « Au Café des Métiers », le Point Information Jeunesse de Ciboure organisait une semaine sur le thème de « l’efficacité énergétique », en partenariat avec la Maison de l’Emploi de Bayonne et Aquitaine Cap Métiers. Du 8 au 13 juin, plusieurs animations étaient proposées.
Nous avons pu effectuer 2 visites du chantier dont 1 avec des élèves de 4ème.
Nous remercions plus particulièrement Catherine Lissardy et Delphine Ricau pour l'organisation.


lundi 18 juin 2012

Isolation des murs par l’extérieur ITE

Cet hiver nous avons procédé à l'isolation par l'extérieur des murs de la maison. 20cm de polystyrène ont été collés sur les murs. Quelques photos de la réalisation.
Découpe de l'isolant

Ajustement des éléments d'isolant par l'extérieur

Pose d'isolant par l'extérieur sur le pignon

Détail de la jonction isolation / fenêtre
Pose du joint compribande pour étanchéité à l'eau

Pose d'un isolant spécifique en soubassement
Celui-ci est plus dense pour résister à la poussée de la terre

Mise en oeuvre d'inserts dans l'isolant
pour permettre la fixation d'éléments

Façade sud-ouest
1ère couche de l'enduit RPE

Mise en oeuvre de l'enduit RPE



Enduit terminé
Finition du pignon par couvertine en alu laqué

mardi 15 mai 2012

La VMC double-flux, une obligation pour la maison passive : pourquoi ? Comment ?

En maison passive, les objectifs à atteindre en terme de consommation énergétique sont tellement bas qu’il n’existe pas réellement d’alternative à la Ventilation Mécanique Contrôlée (VMC) Double flux et nous allons voir pourquoi.
Nous savons déjà que pour limiter les déperditions, il est nécessaire que l’enveloppe du bâtiment soit très étanche à l’air de manière à minimiser au maximum les fuites. C’est l’objectif de la maîtrise de l’étanchéité à l’air traitée dans l’article précédent sur l'étanchéité. Ainsi, il n’y a quasiment pas d’air qui entre ou qui sort par l’enveloppe de la maison.
Pourtant, il est nécessaire de renouveler l’air intérieur de manière à évacuer les polluants produits par l’activité humaine (vapeur d’eau, CO2, odeurs, ...) ou encore ceux issus des émanations chimiques des meubles, objets et autres peintures présents dans nos intérieurs.
On considère en général que ce taux de renouvellement d’air doit se situer entre 0,3 et 0,6 vol/h ce qui correspond au renouvellement de la totalité du volume de la maison toutes les 2/3 heures.
Si pour renouveler cet air on faisait entrer directement l’air extérieur, en hiver, le réchauffement de l’air froid pourrait représenter près de 80 % des besoins de chauffage en maison passive.

La question qui vient maintenant c’est bien entendu, comment marche une VMC Double flux ?
Le principe est simple : récupérer les calories de l’air vicié extrait pour les transmettre à l’air neuf. Ainsi, l’air neuf entrant est amener quasiment au niveau de température de l’air ambiant, d’environ 17°C. On comprend bien là que ce qui va compter c’est la qualité du dispositif qui va permettre de transmettre les calories de l’un à l’autre des flux d’air. Ce transfert à lieu au travers d’un caisson équipé d’un récupérateur de chaleur dans lequel les flux d’air se croisent. C’est le rendement du récupérateur de chaleur qui est alors déterminant. Plus il est élevé, mieux c’est. Aujourd’hui, le système le plus performant mis au point est l’échangeur de chaleur à contre flux.
Les schémas ci-dessous montrent le principe de la ventilation double flux et celui du caisson à contre-flux :

schéma 1 : principe d'une installation de ventilation Double Flux schéma 2 : principe d'un caisson de ventilation Double Flux

Le fonctionnement est le suivant : l’air extérieur (en vert/bleu) entre dans l’échangeur à plaques (forme de losange) puis croise et  longe à contre courant le flux d’air repris (en jaune) constitué par la collecte de l’ensemble du réseau d’air extrait venant des pièces humides de la maison. L’air neuf réchauffé dans l’échangeur au contact du trajet de l’air repris (il n’y a pas de mélange d’air) sort alors (en rouge) pour être distribué dans le réseau d’insufflation qui va vers les pièces de vie de la maison. On remarquera au passage que l’air entrant est filtré de manière à améliorer encore la qualité de l’air intérieur du bâtiment.

On l’aura compris, c’est la performance de la récupération de chaleur qui fait le principal intérêt du système mais il faut aussi faire attention à ce que le gain énergétique sur les calories de l’air ne soit pas annulé par une consommation excessive des moteurs qui assurent la ventilation sur les deux circuits d’air.
C’est pourquoi il existe des normes qui permettent de mesurer de la manière la plus objective possible les performances des double flux que ce soit sur l’aspect récupérateur de chaleur comme sur l’aspect consommation d’énergie de ventilation.
Depuis peu, la norme NF 205 a vu le jour en France pour essayer d’améliorer la qualité des produits vendus mais peu sont homologués à ce jour, c’est pourquoi le label passiv hauss toujours plus exigent que la norme française à déterminer ses propres critères de mesure de manière à ne sélectionner que les appareils les plus performants du marché et propose une liste de matériel homologué passif.
C’est ainsi que pour notre cas, le choix s’est porté sur un appareil certifié PassivHaus Institute de manière à assurer la meilleure performance qui soit.

Enfin, un dernier critère entre en jeu :  la conception du réseau aéraulique importante pour deux raisons :
  • Energétique : si l’on veut que le rendement effectif soit proche de celui présenté par le fournisseur pour l’échangeur, il faut minimiser les pertes au niveau du réseau de ventilation. Pour cela, il faudra s’assurer de deux points :
  1. L’isolation du réseau : les parties du réseau côté extérieur doivent être isolées car elles transportent de l’air froid qui entre dans le local technique (ce local est en volume chauffé dans notre cas) ;
  2. L’étanchéité du réseau : toutes les connexions doivent être étanches pour éviter les pertes de calories en chemin ainsi que les diminutions de débit.
  • Phonique : la double flux va tourner 24h/24h et ce serait dommage qu’elle gêne l’occupant ! C’est pourquoi, il est très important qu’elle soit bien dimensionnée et bien installée pour éviter tout bruit de moteur, de sifflement, de vibration voire de téléphonie entre pièces (perception des sons d’une pièce dans une autre via les conduits aérauliques.) Quatre points sont à respecter :
  1. Désolidariser les parties pouvant vibrer des éléments de structure (caisson, gaines) ;
  2. Bien dimensionner les diamètres des conduits et la taille des bouches pour éviter les frottements ;
  3. Utiliser des silencieux (pièges à son) pour éviter la téléphonie ;
  4. Bien isoler phoniquement le local technique des pièces de vie.
Sur l’illustration ci-dessous vous trouverez les principaux constituants d’une VMC double flux (plan du RDC de la maison).

vendredi 4 mai 2012

Pose des gaines de ventilation double flux

Quelques photos prises lors de la pose du réseau de ventilation double flux. Nous avons utilisé des gaines rigides en acier galvanisé, dont les diamètres varient entre Ø160mm et Ø100mm.
Des silencieux sont disposés entre chaque pièce afin d'éviter la transmission des bruits. 
Les gaines sont fixées à l'aide de feuillard sur lequel est disposé une mousse anti-vibratile. 
Elles sont collées entre elles afin d’assurer une étanchéité parfaite du réseau.
Comme nous avons choisi de chauffé par l'air, le réseau d'insufflation est isolé.
Pendant les travaux les gaines sont bouchées à l'aide d'un adhésif afin de garder l'intérieur des gaines propres.

Pose de gaines de ventilation rigides


Piquage sur une gaine d’insufflation en cours d'isolation


Un soin particulier est apporté à l'étanchéité du réseau

Pose de silencieux anti-téléphonie pour éviter la transmission
de bruits entre différentes pièces



Michel entrain d'isoler, c'est beau le travail bien fait !

lundi 23 avril 2012

Traitement de l'étanchéité à l'air

Après la théorie, place à la pratique. Vous pouvez voir dans  cet article quelques photos qui montrent comment nous avons traité l'étanchéité de notre maison, pour arriver au niveau passif.
Dans notre cas, l'étanchéité à l'air est réalisée sur les murs grâce à l'enduit plâtre, et en toiture grâce à une membrane pare vapeur. La continuité des éléments est primordiale.

Pose pare vapeur, jonction entre éléments et contre lattage
Pose pare vapeur en sous face de la toiture




Détail jonction pare vapeur et enduit plâtre
Point singulier jonction entre châssis et enduit plâtre

jeudi 12 avril 2012

L’étanchéité à l’air en maison passive

Pour labelliser une maison au niveau PassivHaus comme dans notre cas, un des pré-requis le plus difficile à atteindre est le niveau très exigent d’étanchéité à l’air du bâtiment demandé. Mais avant d’expliquer comment on peut atteindre ce niveau et comment on peut le mesurer, commençons par nous demander pourquoi ce point là est-il si important ?

La première des choses qui vient à l’esprit est que pour avoir un besoin de chauffage très bas, il est nécessaire d’éviter l’entrée du froid venant de l’extérieur. Les maisons passives doivent donc non seulement être performantes au niveau de l’isolation thermique des parois en contact avec l’extérieur (c’est ce que l’on a vu avec l’isolation par l’extérieur) mais également être performantes sur leur étanchéité à l’air vis-à-vis de l’extérieur pour éviter l’entrée d’air froid parasite à l’intérieur de la maison qu’il serait alors nécessaire de chauffer.

Ce point là est d’autant plus important qu’en maison passive, le renouvellement d’air à l’intérieur de l’habitation est obligatoirement assuré par une ventilation Double flux dont l’intérêt est de récupérer les calories de l’air intérieur vicié pour préchauffer l’air extérieur neuf insufflé dans la maison par le système. On comprend bien que s’il existe des fuites d’air parasites, l’air entrant par ces faiblesses sera de l’air froid impossible à préchauffer puisque non contrôlé par le système de ventilation, et, l’efficacité de la Double flux s’en trouvera fortement dégradée.

Par ailleurs, en dehors du problème purement thermique de l’air froid parasite, un autre problème peut également se produire si l’enveloppe du bâtiment n’est pas étanche à l’air de manière uniforme. En effet, la moindre fuite correspond à un point de passage d’air froid qui peut générer un point froid particulier dans lequel viendra se concentrer l’air intérieur chargé en vapeur d’eau. A ces endroits, les conditions pour voir apparaitre des phénomènes de condensation seront alors réunies et l’on pourra voir apparaitre des moisissures voire une dégradation de l’isolant ou du bâti.

Tout ceci explique pourquoi un excellent niveau d’étanchéité à l’air est indispensable dans les maisons passives !!!!!

Et pour atteindre cet objectif, seules une bonne conception et surtout, une excellente coordination des différents corps de métier intervenant sur le chantier sont efficaces. En effet, pour atteindre un tel objectif d’étanchéité à l’air, il faut être capable de traiter avec minutie tous les points faibles de l’étanchéité permettant d’obtenir une barrière d’étanchéité parfaite comme illustré sur les schémas ci-dessous :
Localisation des fuites d'air potentielles dans une maison Limite de la barrière d'étanchéité dans une maison et détails de points faibles

Une fois tous les points traités, on passe alors au test d’étanchéité à l’air capable de mesurer le niveau de fuites d’air de l’enveloppe. Un test dit « intermédiaire »se fait généralement avant le second œuvre pour permettre à l’entreprise de corriger facilement les éventuels défauts détectés.

Ce test est effectué à l’aide d’une fausse porte placée en général au niveau de l’encadrement de la porte d’entrée et munie d’un ventilateur capable de mettre en dépression la maison de manière à forcer le passage de l’air extérieur par les fuites et d’un mesurer le débit. On parle du test de la « porte soufflante » (voir photo ci-contre).

La détection des fuites d’air se fait à l’aide de fumigène ou, en période hivernale, à l’aide d’une caméra infrarouge comme illustré sur la photo ci-dessous dans le cas d'une menuiserie non étanche au niveau du dormant :
La mesure dans le cas d’une labellisation de maison passive se fait sous 50 Pa (soit environ 35 km/h de vent sur chaque façade) et doit, pour être conforme au label, être inférieure ou égale à 0,6 vol/h, le volume étant celui de la partie chauffée de la maison. A titre de comparaison, pour la labellisation BBC Effinergie (maison basse consommation à la française), le niveau d’exigence est de l’ordre de 4 fois moins performant (2,5 vol/h environ).

Et comme vous l’avez vu dans l’article précédent, le résultat du test intermédiaire dans notre cas est tout simplement époustouflant pour une première avec seulement 0,13 vol/h !

Il ne reste plus qu’à faire encore mieux au test final !